Podor
Bonjour,
Me voici donc à Podor, je me sens très bien ici, et dire que je repars dans 25 jours !!! Profiter, profiter, profiter jusqu’au bout. Le travail avance bien, voir détail dans la rubrique Travail.
Je ne vous ai pas raconté l’histoire des livres. De retour de France j’avais dans mon sac un livre pour chacun des enfants de Amadou Sy. Ces livres provenaient de la bibliothèque de ma grand-mère merci encore à elle et ce de la part de tous les enfants. Le lendemain de mon retour au village j’ai donc procédé à une distribution de « cadeau ne Noël » à ces enfants que je considère pour certain comme mes petits frères. C’était en fait le lendemain du nouvel an Musulman. On pouvait lire leur agitation, leur manière de manipuler les livres, la façon qu’ils avaient pendant plusieurs jours de ne cesser de les prendre dans la bibliothèque et pavaner avec dans la rue la maison. Et ce surtout pour les petits qui ne savent ou à peine, lire ! Il faut dire qu’ils n’ont que des livres de classe. Ces petits mon donc donner une fois de plus beaucoup de plaisir.
Je ne vous ai point conté non plus Podor, Podor la nuit. Je suis peu sortie proprement dit car je n’ai pas d’amis jeune-qui-sortent à Podror contrairement à Dakar ! Cependant, il m’est arriver très souvent d’aller au marché le soir, car les boutiques sont ouvertes jusque minuit pour certaines. Si les Espagnols vivent dehors et font le fête toute la nuit, ce n’est rien à côté des villes du Sénégal. Les boutiques sont presque plus active la nuit que le jour, les courses ordinaires se font le soir. On va boire un Africa Cola dans une épicerie, on achète quelque biscuit, on discute avec ses connaissances sur le pas des marchants. On mange de la viande griller, on s’interpelle de partout. Et on ne voit pas grand chose malgré les jets de lumière qui sortent des boutiques. Qui néon rose, qui lumière bleu, qui lampe rose, le marché ressemble à une gigantesque toile de lumière accentuer par la poussière qui porte la lumière dans l’air. En zigzaguant entre les minuscules boutiques, coller les une aux autres qui font pour la plupart 5m², construite en dur, on entend les divers postes de musique : Un reggae critique, un mbalax endiablé ou un zouk chaud comme la braise. Chaud, c’est le mot, c’est la chaleur humaine et la fraternité que l’on ressent ici, et qui ne peut laisser personne indifférents.
Buenos dias,
Asi, estoy de nuevo en Podor, me siento muy bien aqui, haayyyyy, me voy en 25 dias !
Aprovechar, Aprovechar, Aprovechar hasta al fin ! El trabajo anda bien, ver Trabajo.
No vos contaba la histotria de los livbros. Volviendo de frencia tenia en mi maleta un libro para cada nino de Amadou Sy. Esos libros vienen de la biblioteca de mi abuela, muchas gracias de nuevo a ella. El dia siguiente a mi llagada al pueblo he sido una distribucion de « Regalos de los Reyes ». Pues, de echo fue el dia siguiente al ano nuevo musulman. Se podia ver sus agitacion, sus manera de manipular los libros, el modo que tenian de caminar con el libro en la mano en la casa, en la calle. Sobre todo los pequenos que aun no saben leir ! Se debe decir que no tienen libros, unicamente libros de classe. Asi esos ninos me dan una vez mas mucho de placer.
No vos contaba tambien Podor, pues, Podor la noche. No sali mucho en Podor, porque no tengo aqui amigos joven-que-salen, al contrario de Dakar. Pero, fue muchas veses al mercado por la tarde, porque las tiemdas son abiertas hasta medianoche ! Si los espanoles viven en la calle y hacen fiesta toda la noche, es nada comparitivo a las cuidades de senegal. Las tiendas son casi mas activas la noche que durante el dia ! la gente vienes beber un Africa cola, comprar algunos dulces, charlar con amigos. No hay mucho luz, no hay lambaras en las calles, pero viene atras las puertas abiertas de las tiendas mucho luz. Luz milticlor, aqui blanco, aqui amarillo, pero tambien azor, rosa, rojo… y la polvo llava la luz en el aere. Caminando entre las tiendas, puedes escuchar un reggae criticando la sociedad, un mbalax de puta madre, un zouk calientisimo. Eso es la parabra, aqui se siente la calor humana, la fraternidad. Y nadie puede no ser sensible por eso.
Hi,
So, i’m again in Podor, I feel very good here, and i’m sad to think that I leave in 25 days ! Enjoy it, Enjoy it, Enjoy it, till the end. Work go well, there is detail on Work.
I didn’t tell you yet the story of books. Coming back from France, I had in my bag a book for each chid of Amadou Sy. That books was from my grand-mother’s library, thanks again to her. The day afte my return to the village I give that “Chrismas presents” to the children that I consider as brother for some of them. It was in fact the day after the Muslim new year. It was possible to see their exaltation, their way to manipulate books, in their maners they keep their book with them in the house, in the street. And that mainly for the very young who don’t even knowreading or very few. Well, in fact thawere their first book instead of the clas book ! Chidren give me again lot of joy.